viking kniv
Reproduction du puukko traditionnel que l’on retrouve dans l’ensemble des dépôts funéraires scandinaves, principalement réalisé au IXème siècle en bouleau nordique. Le manche est moins massif que celui d’un maasepänpuuko. C’est le couteau du marchand. Il a su traverser l’histoire et les matériaux qui le composent ont évolués dans le temps.
La lame fait environ 90 mm de long pour 20 mm de largeur pour un manche d’environ 115 mm. Plusieurs aciers sont possibles pour la lame : – Soit en acier suédois 14C28 forgé à haute résistance à la corrosion (issu d’une acierie faisant de gros efforts au niveau environnemental) – ou bien en acier San Maï (acier feuilleté japonais 69 couches, couches extérieures en acier inoxydables et coeur en VG10, utilisé par les grands chefs cuisiniers) – ou en acier San Maï artisanal motif « lave » (acier feuilleté avec un coeur en N690 à haute tenu de coupe et très grande résistance et couches extérieures en acier inoxydable). – ou encore en acier militaire feuilleté carbone à partir d’un canon de char allemand Léopard revalorisé (aspect veines de bois, écorce). Pour le manche, différents types d’essences de bois sont possibles (liste non exhaustive) : – Essences locales de Normandie (Bouleau, if, frêne des marais, noyer, merisier sauvage, prunier centenaire…),
– Bois précieux composés principalement de loupes, qui sont des protubérances noueuses peu communes sur les arbres créant des motifs uniques dans le bois (loupe de bouleau de normandie, de frêne des marais de Normandie, de bouleau de Laponie…)
– Bois minéralisés à la poudre roche (pigmentation à coeur réalisée à l’atelier et respectueuse de l’environnement à base de poudre d’hématite ou de pierres fines comme le lapis lazulis, la turquoise, la malachite… ).
– Bois rares (chêne et if des marais de Normandie de 10 000 ans en cours de fossilisation, ronce de noyer,…).
Vous pouvez aussi me demander une essence particulière de bois et je verrai si je l’ai dans mes étuves.
